Mariage de Ghost d'Izard et de Ana.Lise Di Favara.

Nombre de messages : 14 Age : 34 Date d'inscription : 10/07/2010

Le Père Lyonis arrivait tôt dans la chapelle pour préparer ses affaires, en effet il allait célébrer son premier sacrement icilieu en cette chapelle. C'était pour lui d'autant plus un honneur car c'était pour le Duc actuel de Champagne.

Il s'avança au sein de la chapelle pour se diriger vers l'Autel sa place préférée se dit-il.

Il déposa alors toutes ses affaires en passant par le Livre des Vertus et ses parchemins notamment ceux que la future mariée lui avait transmis.

Juriste Nombre de messages : 31 Date d'inscription : 03/11/2009

Ghost avait passer du temps a l'acceuil esperant voir ses invités arrivés. Son impatienc e légendair emis a rude épreuv e pour voir l'evenement du jour avoir lieu faisait qu'il se senti obligé d'allez s'assurer que la chapelle étit prete a acceuillir tout le monde.

En arrivant dans l'édifice sacré il pu apercevoir le pere lyonis qui devait célébré la cérémonie.

Bonjour monseigneur, le jour tant attendu est enfin arrivée, merci d'avoir accepté de célébré cette union.

Nombre de messages : 14 Age : 34 Date d'inscription : 10/07/2010

Le Père Lyonis qui était en pleine préparation vit le fiancé ariver il lui sourit puis lui dit.

Et bien le Bonjour Vostre Grace, Oui j'ai bien eu peur que cette union n'eut pas pu se réaliser. Et vous savez c'est un honneur pour moi de célébrer vostre mariage.

L’aube avait pointé son nez ce matin du 30 septembre comme si de rien n’était tandis que pour Ana.Lise s’était ce que chacun qualifierait de « plus beau jour de sa vie ». Le mariage tant attendu allait enfin avoir lieur après des mois d’attente, de déceptions et d’espoirs qui s’enfuyaient si rapidement qu’elle n’osait plus rien espérer du tout. Et pourtant, son futur époux n’avait jamais baissé les bras, la soutenant à chaque pas plus difficile qu’il leur fallait faire, la ramenant à la vie alors qu’elle se croyait perdue, l’aimant de cet amour inconditionnel qui lui faisait pardonner chaque action néfaste qui se produisait. Et ce fut dans une nervosité qui prit naissance rapidement après son réveil que la jeune fille débuta cette journée. Pourtant la veille au soir, elle s’était promis que rien ne viendrait entacher son bonheur, que tout se passerait formidablement bien mais son esprit en avait décidé autrement. Comme beaucoup de fois d’ailleurs, elle se laissait mener par ses émotions qui la rendaient si cruellement instable aux yeux des autres.

Soupirant, elle tenta de chasser cette angoisse en se préparant pour la cérémonie. Installée confortablement dans sa chambre à Dienville, Ana se cala devant la coiffeuse pour démêler sa longue chevelure noire qui lui descendait jusqu’au milieu du dos. Et comme si toute idée même farfelue l’avait fuit, elle resta là, le geste suspendu dans l’air, cherchant quelle serait la coiffure la mieux adaptée pour ce grand jour. Question hautement sans aucune importance, il fallait bien l’avouer mais qui lui posait problème. En rage de ne pas arriver à faire ce qu’elle voulait –mais que voulait-elle au juste ?- elle posa violemment son peigne sur la table puis se regarda dans la glace en soupirant. Qu’allait-elle bien pouvoir faire si rien que le fait de devoir se préparer la mettait dans cet état. La journée ne faisait que commencer et il lui faudrait aller jusqu’au soir pour avoir le bonheur d’être unie à son fiancé.

C’est alors qu’elle aperçut le minois de la jeune Rose qui s’occupait de la cuisine du domaine. L’azur à tendance perle de son regard rencontra les obsidiennes de la jeunette et malgré sa frustration de l’instant d’avant, Ana lui sourit.

Rentre, je t’en prie Rose. Y a-t-il un soucis, tu as besoin de quelque chose ?

La jeune fille, pas encore sortie de l’adolescence, lui fit signe que non et s’approcha timidement de la maitresse de maison.

Je me demandais si…. vous aviez peut être besoin d’aide…

Oh mais oui… oui là tu tombes à merveille… regarde-moi ça, je ne suis même pas capable de trouver comment me coiffer alors que c’est censé être le plus beau jour de ma vie… A part avoir les idées à l’envers, je fais n’importe quoi…

Et tout en parlant, Rose prit le peigne dans ses petites mains afin de démêler, telle une fée, ce qui devait l’être. Avec patience et douceur, elle natta la longue chevelure d’Ana.Lise puis avec dextérité, attacha les nattes en un savant chignon et enfin, elle examina sa dame, sourire aux lèvres, l’invitant à faire de même.

Tu es une merveilleuse petite fée Rose… je te remercie de ton aide. Maintenant je vais m’habiller sinon je sens que je vais être en retard pour mon propre mariage.

Et la dame de Dienville passa cette robe que son oncle lui avait fait envoyé lorsqu’elle leur avait annoncé son mariage imminent. Le pauvre Martino ne pouvant se déplacer pour cause de quelques maux qu’il disait sans importance mais dont Ana soupçonnait qu’il taisait la gravité afin de ne pas l’inquiéter, lui avait fait parvenir ce présent aux couleurs qu’elle affectionnait tant. Se retournant, elle alla se mirer dans la glace afin de voir l’effet que produisait cet habit une fois revêtu et ce fut l’arme à l’œil qu’elle pensa fortement à son oncle. Il avait encore fait des prouesses tant en coupe qu'en broderie et la jeune femme sentit son coeur se gonfler d'amour pour ces deux personnes qui l'avaient élevée.

Maintenant il était l’heure de se rendre à Brienne. La voiture l’attendait, tout était prêt et descendant les marches qui menaient de sa chambre à la porte principale, Rose lui posait une cape sur les épaules car le matin était frais pour la saison. Arrivée sur le pas de la porte, Ana se retourna et serra la jeune demoiselle dans ses bras en la remerciant de son aide précieuse puis capuche installée sur sa tête, elle s’engouffra dans le carrosse qui prit la direction du domaine de sa cousine. La nervosité grandissait, la faisant trembler légèrement mais on lui avait assuré que c’était ainsi que cela se passait et Ana ne se posa pas plus de question, regardant le paysage défiler par la fenêtre de la voiture. Puis au bout de quelques lieues, le château de Brienne se dressa devant elle lui rappelant que dans quelques heures elle serait enfin mariée à l’homme qu’elle adorait. Pénétrant dans la cour du château, le carrosse s'arrêta non loin de l'entrée et Ana en descendit presque fébrilement, cherchant du regard un visage familier.

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 30/09/2010

Malisende arriva devant la chapelle se sentant soudain en terrain familier. Il y avait cela de bon en sa fonction, qu'elle se sentait un peu dans toutes les églises chez elle. Au moins n'avait-elle jamais la peur de ses cérémonies et y allait-elle toujours avec plaisir! Elle n'entendait nul murmure ou discussion provenant de l'édifice. Était-elle en avance? Il n'était pas tard certes, le soleil avait pointé son nez depuis peu et la fraicheur du matin se ressentait encore.

Bon il était temps d'entrer. Elle regarda sa mise encore une fois, leur histoire était déjà bien compliquée pour ne faire honte à personne aujourd'hui. Elle arrangea ses cheveux d'une main experte puis défroissa sa houppelande ici et là. Voilà qui semblait mieux. Elle avança en prenant son temps mais s'arrêta soudain un peu avant l'entrée de la chapelle.

N'avait-elle pas dit à son amie qu'elle serait là pour l'accompagner? Devait-elle l'accompagner jusqu'à l'autel? Malisende se dit soudain qu'elle avait été négligente de ne pas l'avoir demandé à son amie.

Elle en était là de ses réflexions qu'elle vit arrivé un carrosse entre l'entrée et la chapelle. Une jeune femme magnifique en descendit. La diaconesse la regarda le souffle coupé et les larmes lui montèrent aux yeux. Elle murmura pour elle.

- Mon Dieu Océ, si tu la voyais ta nounou...

Elle respira à fond et remit un sourire sur son visage. Puis n'y tenant plus elle se précipita en courant vers Ana. Elle s'empêcha de la prendre dans ses bras ne voulant la froisser ou la décoiffer mais lui prit les mains et lui déposa une petite bise.

- Ana! Tu es merveilleuse!

Lui tenant toujours les mains elle se recula pour la regarder et la fit tourner sur elle même.

- Tu es même époustouflante!!! Merci de m'avoir invitée. Je suis tellement contente d'être là!

Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 30/09/2010

Première lueur de l'aube et deux petit yeux qui s'ouvre encore ensommeillée se demandant bien ce qui lui arrivait.
Cela faisait quelque jours qu'elle avait du mal à réaliser. Autour d'elle on parlait de mariage, mariage, une chose qu'elle avait pourtant attendu depuis bien longtemps, mais elle n'avait pas réalisé, pas voulu y croire non plus...
Il s'était passé tellement de chose... Un peu trop peut être... Le collège, les examens, la maladie de sa mère, les récentes dispute avec son père... On l'avait cru capricieuse mais cela cachait simplement une grande peur... Celle de tout perdre...
Mais personne ne l'avait vu...

Et ce matin, la fillette avait ouvert les yeux et c'était levé d'un bon en voyant la femme de chambre entrer avec une magnifique robe.

-Dites ? Cette robe ? C'est pour le mariage non ?
-Mais oui damoiselle, c'est celle que vous devez porter pour le mariage de votre père.
-Le mariage ? mais alors...

Le petit cerveau encore embrumé se mit rapidement en marche. Robe, mariage, père, mais alors.... Ana !!!!!!!! Ana allait devenir sa maman pour de vrai !

Et sautant du lit comme une tornade, Ely ne mit pas longtemps à se préparer. La robe vite enfilé, les cheveux coiffé rapidement au grand désespoir de la femme de chambre qui eut bien du mal a contenir l'enfant excité.
Mais enfin... enfin.... après un long moment de préparation, la gamine fut habiller et coiffé, prête a partir pour Brienne.

-Flavien !!!!!!!!!!! Dépêche toi !!!!!!! On t'attend avec Jehanne !

1.... 2.... et 3... Et la petite troupe s'embarqua enfin a bord de la voiture qui devait les conduire au domaine de Brienne.

[Dans la cours du château]

Interminable le chemin ! Surtout quand on est pressé !
Ely ne tenait pas en place. Pestant, râlant après le cocher qu'elle trouvait trop lent ! Mais pourquoi diable était-ce si long ! Si seulement elle avait pu prendre Ébène, elle serait arriver bien plus vite. Mais dans un tel accoutrement c'était tout simplement impossible...
Tsss, il faudrait un jour penser a inventer des moyen de locomotion beaucoup plus rapide tout de même....

Brienne. Enfin...
La voiture s'imobilisa dans la cours et sans attendre quoi que ce soit, Ely ouvrit brusquement la porte et sauta à l'extérieur.

-Allez vite ! vite ! J'veux voir Papa moi ! Et puis Ana ! Pressa la fillette en aidant sa petite soeur à descendre.

Un rapide coup d'œil autour d'elle, un rapide repérage des lieux et tenant Jehane par la mains, Ely leva les yeux vers le carrosse arreter devant le leur et ne put s'empecher de sourire.

Elle était là !
Sa maman de coeur, sa futur vraie maman, sa maman tout court.
Enfin ! Enfin son rêve allait devenir réalité !

-Ana ! S'écria-t-elle alors en entrainant sa petite sœur avec elle.

Elle s'arrêta à quelque pas de sa mère, se rapprocha de Malisende qu'elle salua d'une petite bise et regarda la future mariée en souriant.

-Maman... Tu es la plus belle !

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 30/09/2010

Ils arrivent donc devant la chapelle. Elle descend du carosse aidée par son charmant cavalier, elle lui sourit, lui prend le bras tout en lissant les plis de sa robe. Ils entrent ensuite dans la chapelle, dans celle-ci se trouve déjà l'officiant , enfin ce qu'il lui semble et le futur marié. Elle presse le bras de Belgarion au moment d'entrer, elle est ravie qu'il soit là à ses côtés pour ce jour.

Elle s'avance pour les saluer.

Bonjour, mon Père, votre Grasce

Je suis heureuse de vous rencontrer et toi heureuse de te revoir.
Je vous présente Belgarion de Noiremont, celui qui va avoir la lourde tache de m'accompagner en ce jour.

Elle sourit malicieuse.

Nous allons vous laisser terminer ce qui doit l'être.

Elle laisse les deux hommes et va s'installer sur un des bancs. Elle lâche un instant le bras de Belgarion pour prier, puis en attendant que les autres conviés arrivent , elle se permet de lui reprendre le bras. Elle le regarde et lui sourit.

Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 01/10/2010

Bel descendit du carrose et tendit la main à la Dame ,l'aida a descendre et se dirigèrent vers la chapelle...

Citation :: Bonjour, mon Père, votre Grasce

Je suis heureuse de vous rencontrer et toi heureuse de te revoir.
Je vous présente Belgarion de Noiremont, celui qui va avoir la lourde tache de m'accompagner en ce jour.

BelGarion salua a son tour

Enchanté messires, je me présente BelGarion de Noiremont ,seigneur d'arrou .
Bel s'incline et suit Xalta qui l'emmène deja dans la chapelle .....

La duchesse, encore dans ses appartements soupirait le front collé à la fenêtre. Le monde affluait pour le mariage de sa cousine et elle n’était plus habituée à autant de vie sur le domaine. De plus, elle devrait aller à la chapelle et le dernier souvenir qu’elle en avait été le corps de son époux qui y reposait avant de rejoindre son père et son frère dans la tombe.

La Wagner di Favara délaissa la fenêtre afin de se vêtir pour l’occasion. Laissant choir le peignoir qui la couvrait, elle se fit habiller par sa camériste, la brave Margaux. Maltea avait choisi une robe bordeaux et noire avec liseré d’or. Une fine chaine ornait son cou, son alliance caché dans la douce vallée que formaient ses seins. Ses longs cheveux blonds furent relevés, dégageant sa nuque gracile et elle se décida pour la couronne de Brienne qu’elle déposa sur le haut de sa tête.

Dernier coup d’œil au miroir et la duchesse sortit de ses appartements, direction la chapelle. Étrangement, son pas était rapide, et elle parcourut rapidement la courte distance qui séparait la chapelle et le château. Après tout ce temps, elle allait le revoir et on pouvait dire qu’elle était pressée mais aussi quelque peu craintive. Le passé qui reviendrait en mémoire… secouant légèrement la tête tout en plaçant la capuche par-dessus la couronne, cachant ainsi une partie de son visage, elle arriva en vue de la chapelle. Elle s’arrêta un moment, son regard émeraude balayant le devant de chapelle dans laquelle entraient des personnes qu’elle n’avait jamais vu… il faudrait s’y faire… son domaine était aujourd’hui le lieu qui allait voir unir deux personnes qui lui étaient chères… sa douce cousine et le tyran de Conflans promus duc de champagne, il y avait quelques jours.

Nombre de messages : 6 Localisation : Béziers Date d'inscription : 02/10/2010

Xav avait fait le voyage pour assister au mariage du Duc de Champagne, et de Ana Lise. Dans un beau costume bleuté de circonstances, il attendait Maltea Di Favara à l'entrée de la chapelle Sainte Galadrielle.

Mettant à profit ce petit moment de semi solitude, il en profita pour admirer l'architecture classique de l'édifice Aristotélicien, et les beaux jardins qui se dévoilaient, majestueusement, à quelques pas de là, tout en saluant les invités qui semblaient se réjouir de cette fête.

Dans sa main, il tennait un modeste bouquet de roses blanches qu'il comptait offrir à la mariée, et dans la poche de son gilet, un couteau Languedocien, soigneusement forgé et gravé aux noms des époux pour le Duc.

Alors qu’elle s’approchait, elle le vit et son cœur fit un bond dans sa poitrine… vêtu de bleu… comme son ancien époux… à croire qu’il l’avait fait exprès, mais non, cela ne lui ressemblait pas…. Au contraire…

Maltea arriva face à lui et plongea ses émeraudes dans son regard, un sourire sur les lèvres.

Vous attendez quelqu’un Messire?

Il n’avait pas changé depuis tout ce temps et cela lui fit au chaud au cœur de le revoir, en forme. La duchesse descendit lentement le capuchon qui masquait sa chevelure et son visage. Bientôt il deviendrait son vassal… un lien pour les deux, remplaçant celui qui aurait dû se faire, quelques années en arrières et qui pour une raison obscure du très haut, n’avait pu se faire.

Elle le regarda un moment, ne sachant trop que faire. Le silence s’installa, non pas un silence pesant, comme chargé de reproches, mais un silence comme pour laisser le temps faire son œuvre et pouvoir se remémorer les détails du visage qui s’était effacé de sa mémoire au fil des années- enfin qu’elle avait cru effacé - et qui refaisait son apparition, comme s’il s’était caché et refaisait son retour en force.

Nombre de messages : 6 Localisation : Béziers Date d'inscription : 02/10/2010

Il la reconnue de loin..mais la laissa s'approcher sans dire un mots. Elle avait toujours fière allure, et semblait en pleine forme, même si dans son joli regard, il sentait qu'elle n'était pas tout à fait à l'aise.

C'est sans aucun doute vous que j'attend Duchesse dit il dans un sourire charmeur.

Il posa délicatement ses levres sur sa joue pour briser la glace, autant que pour se rapprocher d'elle, redécouvrant avec plaisir sa peau délicate, et la prit avec douceur sous le bras pour l'accompagner vers l'entrée de la chapelle.

Je suis ravi d'être ton cavalier pour cet événement, ca fait des lustres qu'on ne s'est vus, tu dois avoir beaucoup de choses à me raconter. Profitons de la fête en l'honneur de tes amis.

Souriant, il l'accompagna, pas pressé, posant son regard sur l'anneau a demi caché..

Ce sourire… une bouffée de nostalgie s’empara d’elle et une légère rougeur s’empara de ses joues lorsqu’il lui déposa un baiser. Leurs corps n’avaient plus été aussi proches depuis… des lustres. Un sentiment contradictoire montait en elle. Maltea le chassa et le laissa prendre son bras afin de se diriger vers la chapelle.

Je suis toute aussi ravie que toi, et pour ce qui est des choses à raconter…

Une lueur de tristesse voila son regard et elle se maitrisa afin de ne pas la laisser la submerger. Ce n’était ni le lieu ni le moment de se laisser aller au chagrin. Elle le gardait pour elle, lorsqu’elle était loin de toute agitation et seule.

Que des choses banales ou tristes, rien de bien folichon tu sais. Mais je te raconterais si tu y tiens tant que ça.

Elle se ressaisit et lui adressa un charmant sourire.

Tu sais, ça fait un bien fou de t’avoir à mes côtés comme par le passé et là c’est certain, une dispute n’éclatera pas aujourd’hui.

Inconsciemment, sa main se resserra sur son bras avant de relâcher son étreinte…

Entrant dans la chapelle, elle se dirigea vers le bénitier et y trempa le bout de ses doigts avant de se diriger au premier rang afin de prendre place. Ce qui avait de bien quand on était chez soi, c’est qu’on était certain d’avoir une place de choix pour suivre la cérémonie. Elle salua son chapelain et le duc.

Mon père, votre Grace, bien le bon jour, je vous présente un vieil ami et futur vassal, venu de Béziers me rendre visite et me servir gentiment de cavalier pour ce grand jour.

Après avoir discuté quelque peu, la duchesse alla prendre place, attendant la suite, tout en essayant de ne pas parler trop fort avec son compagnon…

Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 02/10/2010

Sarrasin recu l'invitation de son ami qu'il avait connu de par leurs travaux ducaux à des périodes similaires.
Il en avisa sa femme qui décida de l'accompagner avec leur fille. Ils se mirent en route jusqu'en Champagne pour se rendre à cet heureux évènement.
Il du demander à quelques passants la route pour la chapelle de Brienne, qu'il finit par trouver la veille de la cérémonie. Ils passèrent donc tout les trois la nuit dans une auberge non loin de la chapelle.
Le lendemain après s'être préparés pour la cérémonie ils se dirigèrent ensemble à la chapelle. Ils ne connaissaient personne aussi ils ne s'attardèrent pas dans la ville ni dans la chapelle. Il alla se présenter à son ami et lui présenta sa petite famille, avant de prendre place dans les bancs attendant la cérémonie

Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 01/10/2010

Le soleil titillait doucement le visage de Flavien tel une caresse maternelle. La maisonnée s’emplissait de divers bruits au fil du temps qui s’écoulait aussi doucement qu’un petit ruisseau à la fin de l’été. Le jeune homme ne voulait pas se lever, il n’avait pas dormi de la nuit et il n’avait pas envie d’affronter les événements de la journée.

En effet, c’était le « grand » jour. Son père allait finalement remplacer sa mère pour son ancienne nourrice. Cette idée l’insupportait au plus haut point et le mettait en colère. Pour couronner le tout, la petite nouvelle dans la famille faisait sa surexcitée. C’est bien un truc de filles d’aimer les mariages. Car même sa petite sœur de sang, Jehanne, était heureuse de la situation. A ce moment-là, il se sentait trahi de tous et de tout le monde.

Bougonnant et débrailler, il sortit tant bien que mal de son lit. Fallait bien se lever un jour, de préférence demain, sauf que les gens de la maisonnée ne l’entendait pas de cette oreille. On était déjà en train de lui faire sa toilette et de le préparer. Qu’est-ce qu’il pouvait détester ça. Cela faisait longtemps qu’il pouvait faire ce genre de choses tout seul, sa maman lui avait commencé à les lui apprendre et Ana fut celle qui termina cet apprentissage.

Après la séance de torture, il sortit de sa chambre telle un zombie, déambulant dans les couloirs et descendant les escaliers menant aux filles qui l’attendaient avec impatience. Ses yeux étaient ternies par une lueur noire qui prévenaient tout un chacun de le laisser en paix sinon cela risquait de très mal se passer. Il était d’une humeur massacrante.

Le voyage en carrosse fut un enfer entre le voyage d’une longueur extrême à son gout et aux 2 filles qui ne tenaient plus en place. Enfin arrivé devant la chapelle, il en descendit et se dirigea à sa place et s’assit de préférence entre ses deux sœurs. Il était l’ainé après tout et s’asseyait où il voulait et puis ça les calmerait peut-être.

Ses lèvres restaient scellées car il ne voulait prononcer aucun son. Il se doutait que s’il ouvrait la bouche, ce serait un hurlement de colère qui sortirait de sa bouche.

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 03/10/2010

Un mariage, un évènement unique pour les futurs mariés, du moins normalement. C'est sur invitation que Ztneik affaira son destrier prêt à se rendre dans le Duché de Brienne ou allait se tenir la cérémonie en devenir. Depuis l'Alençon, il fallait désormais traverser le domaine royal chargé de quelques vivres et de présents pour l'occasion. Une fois sur place il gagna la Chapelle Sainte Galadrielle ou il patientait devant cette dernière en attendant la venue des autres convives.

Dame de Compagnie Nombre de messages : 64 Date d'inscription : 04/10/2009

[Au matin du grand jour.]

Pourquoi chaque fois qu'elle décidait de ne plus mettre ses pieds à un mariage, fallait il que se soit un proche qui décida de passer devant le prête ?

Une fois encore, la blonde avait du s'incliner, de bonne grâce certes pour ses amis, mais s'incliner tout de même. C'est la première idée qui la cueillit dès le réveil. Sans s'appesantir plus longtemps, dès l'arrivée de Louison elle se soumis avec plaisir aux joies délicieuses de sa préparation pour ce jour faste.

Elle avait longuement hésité la veille entre la somptueuse robe bleue finement galonné d'un liseré d'or, dont un habile tisserand maniant formidablement l'usage des compliments lui avait fait don, et une robe bien plus sobre, d'un rouge profond que venait éclairer une délicate broderie argentée.
Après une petite discussion aussi impromptue et que fort instructive, qui apportait un nouvel éclairage à certains silences, son choix s'était porté sur la toilette couleur de sang, le même qui avait un jour coulé de sa main... Couler comme les mots... comme les semaines.... comme tout ce qui un jour ne forme plus qu'un fleuve de souvenirs.

Le décolleté carré m'était parfaitement en valeur la douce rondeur des deux globes délicats qui s'y logeaient et entre lesquels reposait le médaillon si cher à son cœur, contenant la mèche de cheveux de son défunt enfant. Les cheveux pâles avait été relevé en une torsade savamment travaillait et pour une fois ce ne fut pas son habituel stylet qui vint fixer sa coiffure mais quelques épingles habilement dissimulaient dans la masse luxuriante sur laquelle elle déposa sa petite couronne, celle qu'elle ne portait que si rarement depuis son ennoblissement.

Une ceinture posait sur la pointe de ses hanches soulignait la finesse de sa taille et les pans qui retombaient sur le devant de sa jupe semblaient danser à chacun de ses pas. La bonne du toutefois user d'un léger fard pour rendre aux joues amincies de sa maîtresse une légère teinte rosée que les journées passaient enfermé dans les bureaux de la mairie lui avait fait perdre.

Une fois prête, Lylla n'eut plus qu'à gagner la cour de Petit Mesnil où l'attendait une voiture prête à la conduire à Brienne, où se tiendrait la cérémonie.

[Retour aux sources]

Les cahots de la route n'avaient rien de très confortables, fort heureusement sa demeure n'était guère éloignée de celle de sa suzeraine. Pourtant elle eu tout le temps de réfléchir. Des souvenirs merveilleux affluaient et d'autres lui laissant malgré ce jour de liesse une certaine amertume au fond de la gorge. Quand les grilles du domaine se dressèrent devant son regard absent, Lylla secoua doucement la tête chassant tout cela pour les heures à venir. Il serait toujours temps d'aviser et d'agir plus tard.

L'habituel sourire de la Dame de Petit Mesnil revint hanter ses lèvres finement ourlées et quand le cocher arrêta la voiture elle attendit sagement qu'il vienne ouvrir la portiere et pris appuie sur sa main pour quitter le véhicule. Sa cape simplement agrafée à son cou, couvrait juste ses épaules et d'un geste impatient du revers de la main elle chassa une poussière imaginaire en s'avançant vers la chapelle.

Sous le porche un homme se tenait debout, arrivée à sa hauteur, Lylla lui adressa un sourire courtois, hésitant à entrer dans l'édifice, pourvu qu'elle ne soit pas en retard !

Prenant son courage à deux mains celle qui se comparait volontiers à une sourie, osa prendre la parole d'une voix douce.

Le Bonjour Messire, permettez que je me présente Lylla Cardinal d'Eirbal, je viens assister aux noces du Baron de Chaumont et d'Ana.lise sa charmante fiancée. Rassurez moi, la cérémonie n'a point commencé ?

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 29/03/2009

Franchement qu’est ce qui avait bien pu le pousser à en arriver là ? Elle le saoulait, elle l’énervait, elle lui prenait la tête en permanence… C’était d’ailleurs pour ça qu’il l’avait envoyé se faire mettre chez les grecs plus d’une fois. Il en fallait du courage pour supporter ses sautes d’humeur et ses caprices. L’instant d’avant elle vous adorait et vous suppliait de… enfin de bref, et l’instant d’après elle vous jetais des injures à la figure, jurant aux grands dieux que vous étiez un infâme personnage, une saleté et autres joyeusetés. Peut être pour l’instant d’avant… ouais peut être… ou alors parce qu’il l’avait toujours adoré cette cruche, malgré tout.

Ainsi donc, pour rompre le silence instauré depuis des mois, il s’était (enfin) décidé à aller chez elle. Oh certes il aurait pu lui écrire mais franchement… vous trouvez pas que les lettres c’est un peu… has been ? Rien ne valait le contact visuel (et physique), un bon règlement de compte à l’ancienne, à coups de poings, de claques… associés à une magnifique fausse couche à la fin bien sur. Enfin pas sur que cette fois ça se termine ainsi. Mais ceci dit, il doutait fortement qu’elle aie envie de l’écouter… pas après le coup qu’il lui avait fait la dernière fois. Raaaah… elle était énervante franchement à être si rancunière, après tout il n’avait pas fait grand-chose de mal… enfin quasiment rien… bon peut être un peu certes.

Mais qu’importe, vous l’aurez compris, il avait envie de la revoir… pour diverses raisons (aucune ne vous sera communiquée ici mais je vois déjà ce à quoi vous penser… tsss…). Aussi s’était il déplacé à Brienne, sans grande pompe, juste lui, son cheval et son épée, même pas son page pour l’accompagner. C’est une affaire qu’il voulait régler seul. Arrivé devant me château, il demanda innocemment où se trouvait la duchesse, s’attendant à se voir interdire le passage, voir à se faire mettre dehors par la garde mais soit ces derniers étaient nouveaux et ne le connaissaient pas, soit la duchesse avait préféré ne pas relater sa triste aventure… gageons pour la deuxième solution. Elle était bien trop fière. Par contre il fut surpris d’apprendre qu’elle se trouvait dans la chapelle… serait elle devenue dévote ? Ou alors réalisait elle là un de ses fantasmes ? Il avait bien une petite idée mais bon… pas sur que ça plaise à Sa Garce.

Il se dirigea donc en direction de la chapelle en maugréant, dépité de devoir marcher plus longtemps… Enfin… il fallait espérer qu’elle y serait seule sinon… bah sinon on verrait. Au pire ça dégénèrerait et puis voilà. Youhou… Il devint de plus en plus nerveux au fur et à mesure qu’il s’approchait du lieu consacré… fallait avouer quand même qu’il y avait de plus en plus de monde et que qui plus est, des gens qu’il avait déjà vu. Il maugréa.

Par le con de Sa Garce… la folle se remarie ?

Ah mais nan elle avait pas le droit ! Pas sans l’avoir invité ! Fulminant de plus en plus, il accéléra nettement le pas sans même s’en rendre compte. Aj elle se mariait… eh ben elle allait s’en souvenir de son mariage, comme du précédent. Il pénétra alors dans cathédrale (disons la chapelle… mais bon… les capacités mammaires de Sa Garce faisaient voir les choses en grand), sans même marquer un temps d’arrêt, cherchant furieusement Brienne du regard. Raaah quel était le rustre qu’elle avait à ses côtés ?

Quelque chose n’allait pas, la duchesse en était certaine… elle renifla l’air de rien… non la chapelle ne prenait pas feu… le curé était bien présent, le futur marié aussi. Elle n’avait pas oublié de mettre sa robe et était présentable. Bon il manquait la future épousée mais c’était normal… enfin normalement.
Qu’est-ce qui clochait? Apparemment rien de rien, et pourtant son instinct de survie s’était réveillé, son corps raidit semblant lui dire: Malt dégage et vite ou tu vas encore vivre un enfer… pourtant ce n’était pas elle qui allait s’enchainer une fois de plus devant le très haut mais sa cousine… levant la tête sur Ghost elle se retourna afin de suivre son regard et là… stupeur et damnation! Le VF qu’elle n’avait aucune envie de voir, ni même pensé revoir jusqu’à la fin de ses jours. Dites moi que je rêve, pensa la blonde duchesse sur le moment. Il a du se tromper de château, de domaine, que sais-je encore…. Son regard émeraude croisa celui de Chlo. Sa dernière entrevue avait été houleuse, leur relation n’y avait pas survécu et une fois de plus la duchesse l’avait envoyé aux mille diables, mettant un terme à leur liaison tumultueuse. Cela faisait maintenant des mois qu’elle n’avait plus eu de ses nouvelles et elle s’en félicitait… enfin tout est relatif… si elle n’avait pas été si en rage contre cet homme qui par colère et fierté avait commis un acte irréparable, elle lui aurait pardonné… non content d’avoir réglé un différent par la force et de lui avoir provoqué une fausse couche, il n’avait pas jugé bon de prendre de ses nouvelles. Bon d’accord, avec son fichu caractère… fallait en avoir dans les braies pour oser se présenter devant elle et là… il avait osé… avec quelques mois de retard ceci dit, mais bon… devait être occupé le Von Frayner… c’est qu’il y avait de plus en plus de jeunes nobles en mal de sensation forte dans le royaume.
Réfléchissons bien, mais bien vite… que faire pour bien faire? Ruiner une cérémonie de mariage en faisant un esclandre en public? C’était une option… l’autre était de faire comme si de rien était et d’ignorer ce triste individu… mais waou… plus il prenait de l’âge, plus il dégageait un je ne sais quoi d'animal, qui faisait frémir la duchesse…. Et puis fallait innover aussi… ils n’allaient pas recommencer le coup du duel comme lors de son mariage avec Richard… ceci dit, on disait à mariage pluvieux, mariage heureux… à mariage foudroyant, mariage euh…. Foudroyant et surtout crevant… pour le mari, bien entendu. De toute façon, Richard n’était plus de ce monde pour compléter ce trio, ma foi sympathique et éclectique… option rayée…sans lui ce serait fichtrement moins drôle.
Il en restait une et pas des moindres… se lever, et aller accueillir l’invité qui n’en était pas un, en lui écrasant son poing sur le museau… option tentante…. Mais la duchesse aurait été capable de se casser la main. Non pas malin non plus celle là.
Elle se décida pour l’ignorer, priant que d’autres en feraient de même, n’ayant pas envie (pour une fois) de foutre en l’air en mariage… (juré elle se retient)
Elle appela Ghost en murmurant…

Hey, ta Grace… dit à l’ainé des Von Frayner d’Azayes que les terres de son frère se trouvent un peu plus bas que les miennes, et qu’il s’est trompé de chemin. Il aurait du bifurquer après le carrefour de la mort à la sortie de Conflans. Merci t’es un amour ta Grace, après tout c’est moi qui paie le mariage, donc tu peux me rendre ce petit service.

Sourire enjôleur à son futur cousin, petite pensée à sa cousine, croisant les doigts pour ne pas qu’elle débarque maintenant. Quand un orage était prêt à éclater, mieux valait attendre que cela passe… c’était mieux pour la robe…

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 29/03/2009

Maltea était dans le viseur, dans la ligne de mire. Il n’allait pas se gêner. Visiblement elle lui avait pourrie une réputation déjà peu brillante, et même si c’était mérité, il n’avait aucune raison de faire de la dentelle. Il rejeta vers l’arrière le manteau sombre qu’il avait enfilé pour venir, un vêtement de voyage de maigre facture qu’il pouvait ainsi aisément salir à son gré et qui lui garantissait un certain anonymat. Ce qui était légèrement plus pratique en temps de guerre que de mirifiques vêtements de grand prix. Il adopta son sourire léger habituel qui aurait presque pu le faire paraître jovial si les prunelles, braquées sur la blondasse ne cessaient de jeter des éclairs de fureur.

C’était ça aussi un Chlo, une flegme et un cynisme apparents sur lesquels tranchaient des colères aussi violentes et brutales que soudaines. Il franchit sans attendre les derniers mètres qui le séparaient de la double duchesse de son cœur (ou d’autre chose) et, feignant la joie la plus totale, se permit même de l’embrasser sur les deux joues avec un empressement des plus curieux.

Aaaaah ! Votre Gar… euuh votre Grâce ! Quand j’ai appris cet heureux évènement, je n’ai pu m’empêcher de traverser la moitié du royaume pour te voir. Toutes mes félicitations et tous mes vœux de euuh… bonheur. C’est vraiment une joie de vous revoir.

Il cligna de l’œil, enchainant sans plus tarder tandis qu’il virait son regard fulminant dans le sien… ah non… la colère retombait en fait… laissant place à… un amusement presque pervers.

Qui est donc le malheureux que tu as encore fait dans tes filets ? Il va falloir que je le briefe un peu sur toi… parce que si il est assez fou pour t’épouser c’est que tu as du l’hypnotiser !

Il faisait comme si les autres autours n’existaient pas, conscient de surement déranger bien des gens, et surtout la blonde couronnée. Mais qu’importe… Ce n’était que la longue suite d’évènements passés… et il n’allait pas changer maintenant. A quoi fallait il s’attendre à présent ? Un baffe ? Un esclandre ? Ou pire peut être ? Bah… il lui resterait au moins la satisfaction de l’avoir revue… et admirée parce que bon, Maltea, on pouvait dire ce qu’on voulait sur elle, c’était quand même une sacrée garce. Elle avait des charmes et elle en usait… et ceux-ci ne l’avaient jamais laissé indifférent.

Juriste Nombre de messages : 31 Date d'inscription : 03/11/2009

Ghost faisait des allez retour entre la chapelle et le parvis, afin de s'assurer que tout le monde était là.
Son énième voyage lui permis d'apercevoir Xalta, venue accompagné.

Bonjour Xalta j'espere que ton voyage c'est bien passé.

Ghost se tourna vers l'homme qui venait de se présenté.

Enchanté de voir que Xalta s'est laissé accompagner.

Le couple rentrant dans la chapelle, le duc apercu son ami Sarrasin venu avec sa famille qu'il lui présenta.

Ravi de te voir autrement que pour une question de négoce

Ghost lui fit un sourire le laissant allez s'installer.
Regagnant le parvis il devenait anxieux de ne pas voir son témoin. Il se rappelle pourtant qu'il avait répondu à sa demande... Mais c'ets là sur le parvis que l'homme apercu enfin son ami et témoin du jour Zt qui semblait accompagné.
S'approchant de lui il alla le salué et le remercier d'avoir accepté sa requete.

Ah ben te voila ta grasce! lui dit il avec un grand sourire

Viens donc dans la chapelle le temps que les derniers invités arrivent.
regardant son accompagnatrice enfin celle qu'il croyait etre son accompagnatrice qui n'était autre que Lylla
Ah ben te voila déjà en train de draguer la blonde pffff... allez zou tu va etre en retard

Ghost n'avait pas vu tout le monde , mais la cérémonie devait commencer, le carrosse de la mariée faisait son aparition. Le duc rentra dans la chapelle s'assurer que tout le monde avait de la place. Et c'est la qu'il pu voir l'ainé von frayner. Que pouvait il bien faire ici celui la je me rappelle pas qu'il etait invité pensa t-il. Malt s'approchait de Ghost lui disant tout bas de redirigé l'illustre demi lorrain vers les terres de son frère. PAs le temps de faire quoi que ce soit que le demi lorrain s'approcha bousculant presque Ghost pour parler à Malt. Il tenait des propos étrange Malt? se marier?
Le barbu comme aime l'appellé certaines blondes GRRR Alpaguant le duc de l'aigle ghost voulait remettre les choses dans l'ordre.

Dites L'aigle je me rappelle pas vous avoir invité à mon mariage.

Le temps de finir sa phrase qu'il pensa que dit comme ca ca pourrais porter à confusion... oh pis le laisser imaginer des choses pourrait être marrant. Ghost laissa donc le doute s'immergé dans la tête du demi lorrain.

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 01/10/2010

marc_antoine arriva devant le parvis, tenant par la main sa douce épouse.
Pour une fois peu etre allait il assister sereinement a un mariage, comme le fut le sien voila un temps déjà, ses enfants étaient la pour lui rappeler.

L'homme d'arme qui pour une fois avez trocquer sa carapace d'acier pour une chemise de bonne couture alla saluer le duc ami, sa grâce Ghost.

Heureux de vous revoir en cette circonstance et toutes mes félicitations

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 03/10/2010

Une voix, reconnaissable attira l'attention de Ztneik posté sur le devant de la Chapelle. Entouré de personnes arrivantes il scruta attentivement les alentours.

Ah ben te voila ta grasce! Il se présenta à Ztneik soudainement et l’accueillit à bras ouverts.

Mon bon ami, je suis heureux de te voir, mes félicitations encore. A peine eut il le temps de placer sa phrase... Ah ben te voila déjà en train de draguer la blonde pffff... allez zou tu va etre en retard

Sourire aux lèvres

Ma foi, je tacherai de rentrer avec le Chapelain la prochaine fois ! Montrant son alliance au doigt, datant du 5 novembre 1455. Puis il se mit à rire.

Soit, j'ai hâte que tout cela démarre, et je te souhaite sincèrement les meilleurs moments possibles.

Peu de temps après, Ztneik se tourna vers celui que Ghost appelait l'Aigle. Un nom connu de l'Alençon. Le Duc se dirigea dans sa direction afin de le saluer comme il se doit.

Et le voilà qui arrivait l’air des plus jovial alors que son regard suffisait pour la glacer d’effroi…. Qu’est-ce qu’il allait lui faire? Lui taper la honte en public? La frapper comme la dernière fois? Non cette fois, son frère n’était pas dans les parages, enfin c’était à espérer… au grand dam de la blonde, il lui colla deux baisers sonores sur ses joues, ce qui était pire que tout. Elle sentait sa fureur au-delà de ses airs débonnaires et se demanda la raison de sa visite… cette fois, elle ne pouvait pas se tromper en disant qu’il venait pour elle… Sans parler de son discours décousu de sens… il pensait qu’elle se mariait? Ça expliquerait le regard furieux… quoique non même pas, après tout qu’est-ce que ça pouvait lui faire qu’elle convole de nouveau? lui-même était marié, donc de quoi se mêlait il, ce …
Elle et Ghost… trop d’opium à coup sur… ceci dit… oui ce serait drôle de le lui laisser croire…
Un sourire se fendit sur les lèvres carmines de la duchesse qui plongea son regard dans le sien, prenant un air des plus assurés.

Ah oui et sur quoi? Il me connait tu sais… il m’a connu avant toi, je ne lui ai jamais rien caché. Je n’ai nullement eu besoin de l’hypnotiser, comme je n’ai jamais eu à user d’artifice sur ta personne… remarque toi ce n’est pas bien compliqué… suffit d’être une femme et on peut se vanter de t’avoir comme amant… même un laideron tu n’hésites pas!
Enfin bref, si s'est pour venir foutre en l’air le mariage… pas la peine, mais c’est gentil d’être passé…. Laisse le cadeau au château en partant, ce serait gentil, on n’en a jamais assez.

Elle lança un petit regard à Xav qui se tenait légèrement à l’écart de tout ceci et elle se demanda, quand est-ce que lui aussi s’y mettrait… pauvre Ana… si elle avait su, elle serait restée cloitrée dans sa chambre… mais malheureusement, elle n’avait pas eu vent de la présence de Chlo en ce lieu, surtout qu’elle le pensait mort… d’un autre côté, sa cousine se souviendrait de ce jour, pour le restant de sa vie… ce qui n’était pas négligeable….

Dame de Compagnie Nombre de messages : 64 Date d'inscription : 04/10/2009

Et bien décidément elle aurait du suivre son instinct et rester dans son lit ce matin !
Que n'avait elle respecté le serment fait le jour des noces de Sacraï, ne plus jamais assister à un mariage. Bon sang pas assez de se faire remarquer toute seule, il fallait que ce futur marié de barbu en remette une couche ! Pourquoi aussi avait elle décrété qu'elle n'avait nul besoin de cavalier ?

Les joues désormais bien rouge et sans fard, décidant que les félicitations seraient pour plus tard la dite blonde souleva légèrement ses jupons à deux mains et plantant là les deux hommes aussi élégamment que ce qu'elle avait été reçu, passa les hautes portes de la chapelle.

Les doigts trempés dans le bénitier aussi vite que le signe de croix fut tracé et Lylla prit place.
Éviter les premiers rangs réservés aux couronnes qui pullulaient en ce lieu. Vu sa taille à ce rythme il lui faudrait se mettre debout sur un banc pour suivre la cérémonie... à moins qu'elle ne se place à côté d'un pilier au moins elle pourrait discrètement piquer un somme sans crainte de s'écrouler durant l'office.

Un coup d'œil a sa suzeraine raviva son intérêt pour ce qui pouvait se dérouler dans le lieu saint, on était jamais à l'abri de rien avec Maltea et l'homme qui lui faisait face lui rappelait étrangement quelqu'un... L'espace d'un instant un souvenir, une chapelle vétuste, une nuit, un incendie... voilà qui était hautement plus revigorant pour son esprit chagrin.
En fin de compte peut être que ce mariage ne serait pas si mal... Enfin bon, cette fois juré c'était bien le dernier, on ne l'y reprendrait plus, ami ou pas !

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